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Série : 24
Création : 17.11.2010 à 16h49
Auteur : cindy1
Statut : Terminée
« Suite et fin de tous les épisodes que j'ai déjà écrit auparavant. Je souhaite l'écrire seule, merci! » cindy1
Cette fanfic compte déjà 18 paragraphes
Bill se retrouva seul dans son bureau, et prit contact avec la maison blanche, et demanda une conférence avec le président Sanders.
Président : Bill ?
Bill : Monsieur le président
P : Que se passe-t-il ?
B : Comme on vous l’a dit, nous avons une alerte concernant des éventuelles attaques au gaz neurotoxique sur le territoire.
P : Oui effectivement, alors du nouveau ?
B : Oui, nous avons la preuve que ce gaz existe bien, mais nous avons appris qu’il provenait directement du gouvernement russe.
P : Comment ça ? Vous ne pensez tout de même pas que le gouvernement russe serait capable de cela ? Quelles sont vos preuves ?
B : Je ne pense pas monsieur le président, je ne m’appuis que sur des preuves, que voici.
Bill passa les photos au président.
P : Nous n’avons aucune équipe sur les lieux, d’où viennent ces photos ?
B : Des anciens agents Bauer et Li.
P : Mais ils ne travaillent plus pour nous, si je ne me trompe pas !!!!
B : Oui, Monsieur le président, effectivement. Toutefois ils étaient à côté de cette base, et je leur ai demandé d’aller faire une surveillance.
P : Et cela sans m’en informer ?? Vous savez que je devrais vous faire arrêtez pour cela ?
B : Oui monsieur le président. Mais ils ont apporté les preuves dont nous avions besoin ; J’assumerais toutes les sanctions que vous désirez m’appliquez suite à cet acte.
P : Nous verrons ça en temps voulu, envoyez les équipes sur le terrain, tenez-moi en informer cette fois. Et dites aux agents Bauer de dégager de ce terrain, ils ne sont plus entraînés à cela. Remerciez-les merci.
Tony appela Cindy et Jack pour les prévenir que le président dépêchait les équipes sur les lieux, et qu’elles arriveraient d’ici 4 heures sur place.
Il leur explique que le président leur demandait de partir.
Cindy : En laissant le terrain sans surveillance ? Hors de question, préviens-nous quand les équipes seront là, nous on reste surveiller.
Tony : Oui, mais là, le président ne couvre plus.
C : On s’en fout, on s’en ira quand il faudra. Il est hors de question que nous laissions un terrain si sensible sans surveillance. Et dite à vos équipes de se dépêcher !
T : Ok
Les deux reprirent position, et attendirent en tenant un silence radio. Au bout d’une heure sans mouvement, ils virent deux hommes armés qui sortaient un homme menotté d’un fourgon. Ils virent qu’il portait un uniforme du laboratoire national de recherche scientifique.
Cindy : Merde…
Jack : Oui, c’est ce mec qu’ils vont obliger à armer les détonateurs pour le gaz.
C : Oui, et ils n’ont pas beaucoup de temps, une heure ou deux pas plus, puisque dans le cas où les attaques doivent avoir lieu pendant le débat, il ne reste que 18 heures.
J : Oui. Les équipes sont encore à trois heures.
C : On n’a pas le choix Jack…
J : On est que deux, c’est extrêmement dangereux
C : On n’a pas le choix
Cindy prit contact avec Tony, et Bill :
Cindy : On n’a pas le choix, il faut qu’on aille récupérer ce mec, c’est lui qui va tout faire jouer.
Bill : Non, vous attendez les équipes !
Cindy : Pas le temps !
Bill : Vous êtes que deux, on ne vous couvre plus là !
C : Toute manière vous ne l’avez jamais fait ! Dites à Chloé de détourner un satellite et surveillez nous, si ça peut vous faire plaisir.
Elle coupa la communication, Jack la rejoint, et Chloé tentait de détourner le satellite. Toutefois cela ne marchait pas et la connexion refusait de se faire. Ils étaient donc aveugles
Les deux tentèrent de monter une stratégie, tout en sachant qu’elle était vraiment fragile.
Ils rejoignirent un conduit d’aération, par lequel il pouvait d’après les seuls plans fournis par Chloé, entrer dans le bâtiment.
Plusieurs minutes après, ils virent la pièce où était l’homme du laboratoire. Il était en train d’assembler les pièces des détonateurs sous la surveillance de trois hommes armés. Alors d’un commun accord, Jack rentra dans la pièce, tua deux des hommes et Cindy s’occupa du troisième. Toutefois les coups de feu portés sans silencieux, retentirent dans tout le bâtiment et à ce moment, ce n’était plus une sortie en douceur mais une fuite qui s’imposait. Jack prit avec lui le mec du laboratoire, et Cindy le suivait. Ils se précipitèrent vers la sortie la plus proche en essuyant de nombreux coups de feu. Le contact radio devenait impossible et quand Jack se retourna il vit que Cindy était à terre.
Elle venait de prendre une balle dans la cuisse. Elle était à terre, et n’arrivait pas à se relever. Elle vit le regard de Jack et lui hurla « Sauve-toi, sors-le de là, vite ».
Jack ne voulait pas la laisser mais il n’avait pas le choix, il devait sortir ce gars d’ici et le mettre en contact avec la CAT.
Six minutes après il était dans la voiture avec le mec.
Il le fit monter à la place passagère, mais ne démarra pas la voiture. Il s’assura que personne ne les avait suivis. La voiture était bien cachée, mais s’il la bougeait c’était là qu’il allait se faire repérer. Et il ne pouvait pas laisser Cindy ici, il devait pouvoir retourner et vite sur ce terrain.
Jack : Je suis du gouvernement, vous allez expliquer tout ce que vous savez au mec que je vais vous passer.
L’homme : D’accord
Tony : Jack
Jack : Je te le passe, on la récupéré.
Tony : Je suis Tony Almeida de la Cellule Anti Terroriste, il faut que vous me disiez ce qui s’est passé.
L’homme : J’ai été enlevé par ces hommes ce matin en partant travailler. Ils avaient besoin de moi pour monter des détonateurs qui devaient servir à faire exploser des bonbonnes de gaz neurotoxique. Je suis le seul qui sache le faire, parce les bonbonnes sont des prototypes sur lesquelles j’ai travaillé, mais dont le brevet m’a été volé. Trois de ceux-ci sont prêt c’est tout. Ce gaz est extrêmement dangereux, mais sans moi, ils ne peuvent pour l’instant n’en faire exploser que trois.
Tony : Ok, est ce que vous connaissez un de ces hommes ?
L’homme : Non, pas du tout. Ils sont tous russes, ça s’entend à leur accent, mais je ne les ai jamais vus.
Tony : Ok, Jack tu reste avec, il ne faut surtout pas que ces hommes le ré-enlève et les équipes arrivent, vous nous tenez au courant des moindres déplacements ok ?
Jack : Tony…Cindy est à l’intérieur…Je dois aller la récupérer…
Tony : Oh non….Jack, non, il faut que tu reste avec, s’il se fait reprendre ça va devenir intenable. Les équipes arrivent, ils vont la ramener !!
Jack : Non !! Tony, c’est ma femme qui est là-bas, qui est blessée et qui est aux mains de ces terroristes, je ne vais pas attendre là, les bras croisés !!
Tony : Je sais, mais si le mec du labo se fait reprendre ce sont des milliers voire des millions de morts !!
Jack : C’est ma femme !!
Tony : J’ai un prof qui m’as dit « Jamais le personnel ne doit influer le terrain »
Jack : Si elle meurt tu seras responsable
Et ils coupèrent
Tony s’en voulait de ce qui arrivait. Il les avait appelés. Il ne se pardonnerait pas la mort de Cindy si cela devait arriver.
Jack était dans la voiture, il voulait y aller mais il savait très bien dans le fond de lui qu’il ne pouvait pas. Il avait les larmes aux yeux, il savait que sa femme était là-bas, et qu’elle était sans doute déjà entre les mains de ces terroristes. Il ne voulait pas la perdre et son seul espoir était qu’il ne la tue pas. Son seul espoir était qu’il décide de la faire parler et non de la tuer. Il avait mal au cœur de souhaiter la souffrance à la femme qu’il aimait mais il préférait encore qu’elle souffre, plutôt qu’elle meure.
Elle avait deux heures et demie à tenir….un temps très court mais qui pouvait devenir une éternité.
L’homme : C’est votre femme, qui est à l’intérieur ?
Jack : Oui. Ils sont combien à l’intérieur ?
L’homme : Une grosse dizaine à mon avis.
De leur côté, les terroristes avaient menotté Cindy sur une chaise. Ils tentèrent de lui faire avouer qui elle était et ce qu’elle faisait là, mais elle resta sans réponse.
Au bout d’une heure et trois quart, un des terroristes arriva vers son chef.
L’homme : Cindy Bauer. Son tatouage des équipes delta et sa photo m’as permit de remonter à son dossier. Et tiens j’ai intercepté des messages radio avec le gars qui était avec elle et qui n’est autre que son mari.
Le chef : Bon travail. Mets-moi en relation avec.
La radio de Jack grésilla dans la voiture. Il pensa au départ que les équipes arrivaient, mais il entendit :
Le chef : Monsieur Bauer. Ecoutez bien cela où je tue votre femme. Je vais vous laissez 15 mn pour me ramener le mec dont j’ai besoin, et je vous la rends. Sinon, vous allez l’entendre souffrir puis mourir.
Jack : C******, ne la touchez pas !!
Le chef : 15 mn, pour vous décidez !
J : Non, je ne négocie pas.
Le chef : Très bien. On va vite faire changer cela. Il s’éloigna de la radio, et Jack entendit.
Le chef : Il veut jouer à ça, très bien. Je suis désolée pour toi, mais il ne veut pas de toi, preuve que tu dois drôlement compter pour lui. Jack, ceci n’est que le début.
Il entendit un coup de feu, puis les cris de sa femme.
Ses nerfs étaient à vifs, il n’en pouvait plus, mais il savait que sortir d’ici pouvait mettre en danger la vie de millions de gens. Il s’en voulait de ne pas avoir réussi à la convaincre de ne pas remettre les pieds sur le terrain. Il s’en voulait de l’avoir laissé là-bas. Puis il se dit que s’en vouloir n’allait pas la faire revenir. Il regarda sa montre et se dit « 10 mn, il faut qu’elle tienne 10 mn ».
Mais l’homme du laboratoire le regarda et dit :
L’homme : Allez-y
Jack : Hein ?
L’homme : Allez la récupérer, les équipes vont bientôt arriver, allez-y c’est votre femme.
A ce moment, il donna son téléphone au mec du laboratoire, il lui dit « Dans un peu moins de 10 mn, les équipes DELTA seront là, ils savent que vous êtes là, dites leur que je suis dans les bâtiments, si vous avez un problème appelez ce numéro, je vous remercie ». Il sortit de la voiture, prit son arme et se mit à courir jusqu’au bâtiment.
Il rentra par là où il était sorti et arriva devant la pièce où il détenait Cindy. Ils étaient trop nombreux pour qu’il puisse attaquer. Il jugea la situation. Cindy était blessée, fatiguée et tenu en joue par un homme. Alors il décida de se rendre et de faire patienter les 10 mn restantes, pour attendre que les équipes arrivent.
Jack : C’est bon je suis là, je pose mon arme.
Le chef : ah ben voilà.
Jack croisa le regard de Cindy :
Cindy : Non…Jack…Non
Le chef : Tais-toi ! Bon, où est le mec dont j’ai besoin ?
Jack : Laissez – la partir, et je vous le livre.
Le chef : Il est où ?
Jack : Il est dans une voiture, à 3 km de là, laissez la partir et je vous dis où.
Le chef prit 5 mn, le temps de constituer une équipe.
Jack regardait Cindy. Elle le fixait avec haine. Mais au bout de quelques minutes elle comprit par le regard de Jack ce qu’il en était vraiment.
Pendant ce temps les équipes DELTA était arrivé, et avait récupéré l’homme du laboratoire qui leur expliqua que Jack était parti récupérer Cindy.
Le chef DELTA : Où est monsieur Bauer ?
L’homme : Il est dans le bâtiment, il est parti récupérer sa femme.
Tony, par téléphone : Ok, trouvez les et ramenez les deux vivants, c’est un ordre.
Les équipes commencèrent à s’approcher vers les bâtiments, mais se firent repérer. Les terroristes en informèrent leur chef.
A l’intérieur, le chef et deux de ses hommes trainèrent Cindy et Jack, à l’extérieur dans la forêt. 50 m plus loin, le chef arrêta et dit :
Le chef : Vous nous avez trahi monsieur Bauer, vous saviez que des renforts arrivaient. Mettez vous à genoux les deux.
Les deux s’exécutèrent. Ils savaient que les équipes DELTA étaient à côté, mais ils savaient aussi très bien que ce n’était pas dans la forêt qu’ils iraient en premier, mais dans les bâtiments car dans le protocole de repérage on leur apprend à partir d’un point fixe s’il y en a un (bâtiments ou autre) pour aller ensuite aux alentours. Cindy, une fois à genoux, craqua, elle se mit à pleurer et dit « Non, non… ». Jack lui prit la main, et lui serra le plus fort possible. Son cœur se noua, il savait que ce moment était le dernier de sa vie. Ils allaient mourir pour un métier, pour une passion qui les avait toujours rattrapés. Cindy s’en voulait, elle savait que c’était de sa faute s’ils étaient là. Elle avait toujours cherché à mourir, mais là, en face de la mort elle voulait en échapper et elle se dit que Jack et Mike avait raison quand ils lui avaient dit qu’elle ne voulait pas vraiment mourir au fond d’elle.
Ils entendaient les équipes s’approcher, mais en même temps ils entendirent derrière eux deux armes se charger. Les deux se tenaient la main, mais regardaient devant eux, les larmes coulant. Jack murmura un « Je t’aime chérie », et Cindy lui rendit « Je t’aime, à tout de suite ». Et le dernier son qu’ils entendirent fut deux coups de feu…
Le débat, eu lieu les heures suivantes, sans que les attaques aient lieu. Tout se passa bien.
Le meilleur ami de Jack et Cindy, Mike, qui apprit la nouvelle par Tony, alla expliquer à leurs deux enfants que plus jamais ils ne reverraient leurs parents, qu’ils étaient partis au ciel pour ce qu’ils avaient toujours voulu servir.
Et cinq jours après, l’enterrement des deux Bauer étaient célébrés, aux USA, et le président Sanders, Tony, Bill et Chloé, étaient présents et avaient autorisés, comme les deux l’auraient souhaité, un enterrement militaire par honneur.
Le soir même de l’enterrement, les deux enfants étaient dans un avion, avec leurs larmes et leurs souvenirs et arrivèrent vers Mike.
Il les avait couchés, et il était au salon, avec un verre de vodka. Il regarda la photo de mariage de Cindy et Jack. Et il dit « Ne vous inquiétez pas, je m’en occupe de vos enfants, je vous l’ai promis, reposez en paix, et enfin…soyez heureux »…
FIN
